Si les gens commencent leur week-end dès le jeudi, voire le mardi pour les plus malheureux, c’est qu’il y a un malaise dans cette société. Les personnes que tu peux voir…

La liberté d’expression est un cri du cœur et doit être soutenue, et pas seulement dans les moments de trouble. Parce que le jour où elle sera morte, on sera devenus muets comme des tombes.

Avec l’arrivée du week-end, l’euphorie nous gagne peu à peu. Certains scrutent alors l’horloge en y voyant un décompte salvateur. Après cinq jours de labeur, place à quarante-huit heures où ils seront là, bourrés.

Les marches d’escalier, il y’a ceux qui les montent deux par deux, et il y’a moi qui les dévale à cent pour cent. En rêvant d’ascenseur social, je me suis…

Le désir est un grand professeur. Le malheur est dans l’appartenance. Le désir lui, nous pousse à nous ouvrir pour obtenir ce que nous souhaitons le plus.

Aujourd’hui, j’étais un peu perplexe à l’idée de rencontrer mon invité du jour. J’avais réussi à décrocher une entrevue avec un personnage très, très controversé.

Après avoir patienté plusieurs dizaines de minutes, face à une page blanche Word, je me demandais ce que je pourrais bien vous raconter aujourd’hui…

Après avoir chanté mille fois les louanges de l’ivresse, je m’attarde aujourd’hui sur son antipode, le Joker du Batman, le Moriarty de Sherlock Holmes : la sobriété.

Tic. Tac. Tu entends le bruit de l’horloge comme jamais tu ne l’avais entendu. Tu cherches à t’occuper pour éviter de te perdre dans tes pensées.

Je me suis levé hier en me disant « tiens t’aurais bien besoin de vacances, John Beck ». Parlons Coronavirus.

Le silence. Omniprésent par son absence. On le redoute et on le déteste. On le haït à tel point qu’on cherche tout le temps à le combler et faire disparaître ce « malaise » qui s’est installé.

Alors que des gamins se font exploser tous les jours par des mines antipersonnel, on n’a rien trouvé de mieux à faire que de parler du cul de trois pétasses. Et c’est là qu’est né le pire hashtag de l’univers : #balancetonporc.

Comme si le monde n’allait pas assez mal aujourd’hui, il a fallu que l’homme se crée une nouvelle menace. Tout comme il a inventé le fascisme et la bombe atomique, l’humain est à l’origine du végétarisme et par conséquent de sa propre déchéance.

Il était temps pour moi d’actualiser ma chronique sur la Saint-Valentin, et par la même occasion augmenter légèrement le niveau.

L’homme a toujours été attiré par le sexe, car il en sort. C’est comme un retour à la source, plein de cyprine.

Le nazisme est un thème récurrent aujourd’hui dans l’humour noir. Facile, car passé, les petites frappes l’apprécient, car ils peuvent dénigrer sans avoir peur de représailles.

Nous les avions presque oublié… un souvenir qu’on pensait marqué à jamais s’estompe de plus en plus de nos mémoires, mais nous voilà 15 ans plus tard, forcés de souhaiter un très bel anniversaire aux attentats du 11 septembre.

J’ai souvent écrit sur le bien et le mal, un bien pour un mal où le mal se porte bien. Il y a de la beauté dans le dépassement de soi. Mais là, il semblerait que l’homme ait trouvé vocation à s’entretuer.

Il existe bien des façons de mourir. Mais ce qu’on est en droit de se demander, c’est : peut-on mourir de rire ?

La véritable question n’est pas de savoir comment quitter son ex, mais plutôt comment la choisir.

Il y a les dimanches pluvieux et les dimanches heureux. C’est le jour d’inactivité absolu depuis qu’une secte mondiale ait décrété que le « septième jour sera dédié au repos ».

Les terrasses sont des lieux intéressants si on y prête attention. Modulables, elles sont tout de même conçues pour des modèles standards…

Je vous préviens tout de suite, ça fait un moment que je n’ai pas écrit. Je sens que cette chronique va être sans pitié…

On prend parfois des airs philanthropes à dire ou se dire qu’on supporte une bonne cause: écologie, sans-abris, cause animale.

J’ai jamais autant eu d’appréhension en abordant un sujet. Il faut dire qu’en matière de cruauté humaine, l’homme a toujours su exceller. Ce n’est pas la matière qui me manque pour cette chronique.

À peine réveillé, je sais déjà comment sera ma journée. Cette journée symbolique ne symbolisant plus rien. Métro, boulot, gâteau, dodo.

À l’instar de ce chat, à la fois symbole suprême du « so cut » sur le web et émétique au plus haut point lorsqu’il est avec ses congénères sur un calendrier La Poste, la beauté a ses raisons que la raison ignore.

Ma bonne éducation me faisait penser qu’on ne pouvait pas acheter l’amour. Je croyais qu’un coeur qui battait pour nous n’avait pas de prix, que ça se partageait et que ne s’échangeait pas.

On a tous vécu ce moment juste avant de nous endormir où on a mille pensées à la seconde. L’insomnie s’invite alors dans notre lit.

Je suis sombre, rafraîchissante et on prend plaisir à venir me voir ? Qui suis-je ? Non, je ne suis pas une bière ambrée ou une prostituée à la peau mate. Je suis le sujet de cet article, je suis une salle de cinéma.

L’autre jour, j’ai dû assister à un enterrement. Dans une église, un prêtre nous a parlé de vie éternelle, quel bel euphémisme… presque un oxymore quand on sait que ce caractérise le plus la vie, c’est sa fragilité, son côté éphémère.